Droit pénal de l’art : l’épopée judiciaire de la succession Picasso
Sujet : droit de l’art
Le Journal « La Provence » rappelle la romanesque histoire de la succession Picasso. Une succession complexe, des oeuvres qui disparaissent de l’inventaire, un électricien qui avoue avoir menti… Le recel des oeuvres de Pablo Picasso a donné lieu à une épopée judiciaire digne d’un roman. 271 oeuvres de Picasso sont ainsi restées enfermées dans un garage pendant plus de trente années.
Ce article revient sur les différents éléments du procès de Pierre le Guennec qui avoue avoir menti lors de son audition devant la cour d’appel d’Aix. Ce feuilleton judiciaire devait permettre de de comprendre comment 271 oeuvres de Pablo Picasso ont pu échapper à l’inventaire de la succession.
Le cabinet De Baecque Faure Bellec est intervenu dans ce litige, fort de son expérience reconnue en droit pénal de l’art. Les successions d’artistes, l’authentification des oeuvres d’art et les contentieux complexes du marché de l’art font partie des points forts du cabinet. Olivier de Baecque est un des rares avocats doté d’une double compétence en droit et en histoire de l’art. A cela s’ajoute une parfaite connaissance des pratiques notamment en matière de successions d’artistes.
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