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Vente d’objets d’art : authenticité et contrat
Sujet : DROIT DE L’ART Juris Art Etc., n° 5, Septembre 2013 Lors de la vente d’une oeuvre d’art, l’acheteur donne son consentement au regard du descriptif, dont la rédaction est strictement réglementée. Analyse. > Lire l’article
Aucun certificat délivré à Claude Guéant
Depuis le début de la semaine, les explications de Claude Guéant sur la somme de 500.000 euros versée sur un de ses comptes bancaires depuis l’étranger suscitent de nombreuses interrogations. Si un de ses comptes s’est vu crédité d’un demi-million d’euros, c’est, explique Guéant, le fruit de la vente de deux tableaux du peintre flamand du 17e siècle Andries Van Eertvelt à « un confrère avocat malaisien ». Une « transaction privée », selon l’ancien ministre, qui assure avoir acquis ces oeuvres représentant des bateaux dans la tempête « il y a une vingtaine d’années », et les avoir vendues en 2008. L’artiste est peu connu (> Mais qui connaît […]
Les étapes du dépôt d’une marque
LES PRINCIPALES ETAPES D’UN DEPOT DE MARQUE 1. Déterminer les produits et services couverts par le dépôt de marque Une marque désigne des produits et services et est protégée seulement pour ceux-ci. Ces produits et services font l’objet d’une classification administrative par catégorie. Il existe 45 classes regroupées par thèmes. Ainsi par exemple les parfums relèvent de la classe 3, les vêtements de la classe 25, les services de télécommunications de la classe 38. Les intitulés administratifs sont purement indicatifs et l’on peut adopter d’autres termes, à condition qu’ils permettent d’identifier clairement et sans équivoque les […]
Tradition, évolution, innovations : quelles perspectives pour la profession ?
Convention 2012 SYMEV, Syndicat National des Maisons de Ventes Volontaire Commissaires-priseurs de ventes volontaires et commissaires-priseurs judiciaires : deux métiers complémentaires. La réforme de juillet 2000 a posé le principe d’une séparation des activités judiciaires et volontaires. Pour la première activité les commissaires-priseurs demeurent des officiers ministériels, pour la seconde, ils exercent leur métier au sein d’une société commerciale, ou sous toute autre forme juridique de leur choix. > Lire la suite